« Le jardin de notre planète se rétrécit d’année en année,
mais cet espace où je plante mes jalons s’agrandit.
C’est une respiration possible.
Là où le béton a bouffé le paysage, je le réhabilite
et là où les couleurs sont censurées, je les replace.
N’est ce pas notre pensée et notre regard intérieur qui façonne le monde ? »
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